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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 16:20

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Selon une enquête réalisée en 2012, les personnes qui sont au chômage ont moins fréquemment accédé à une formation professionnelle que les actifs ayant un emploi, sur une période d'un an.

Elles rencontrent, pour suivre des formations ou même pour en formuler le projet, des obstacles qui leur sont spécifiques, comme le sentiment de n'avoir pas le niveau suffisant ; elles nourrissent aussi des réticences plus importantes vis-à-vis des formations.

Le parcours qui prélude à l'entrée en formation professionnelle des personnes privées d'emploi suppose des interventions multiples et des délais parfois importants.

Parmi les personnes au chômage ayant suivi une formation professionnelle, une forte majorité témoigne de sa satisfaction et de l'utilité présente ou future des acquis de la formation.

Dans une perspective dynamique, les personnes qui étaient déjà bien insérées sur le marché du travail sont celles qui ont les meilleures perspectives de reprise d'emploi à l'issue de la formation.

À caractéristiques individuelles identiques, les stagiaires qui bénéficient de formations ciblées comportant un fort contenu opérationnel, dans des domaines professionnels précis ou pour se perfectionner dans un métier, accèdent plus rapidement à un emploi.

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15 février 2013 5 15 /02 /février /2013 08:51

http://alloemploi.fr/img/info/aides-aux-frais-associes-la-formation-afaf-124.jpg

 

Les frais de formation sont, en principe, à la charge du stagiaire. Cependant, les stagiaires en formation peuvent , sous certaines conditions, bénéficier d’une aide destinée à couvrir les frais de formation et les frais annexes tels le transport et l’hébergement.
Cette « aide aux frais associés à la formation » (AFAF) est attribuée par le directeur d’unité du Pôle emploi, dans la limite des enveloppes disponibles et dans la mesure où elle apparaît nécessaire à la reprise d’emploi. Le cas échéant, Pôle emploi peut en déléguer la prescription à d’autres opérateurs avec lesquels il aura conclu une convention.

 

A savoir

Les personnes qui suivent un stage agréé par l’État, ou la région peuvent bénéficier d’une prise en charge de leurs frais de transport et d’hébergement soit de l’État, soit de la région.

Quelles sont les actions de formation ouvrant droit à une aide ?

Dans le cadre de leur projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE), les salariés inscrits sur la liste des demandeurs d’emploi peuvent bénéficier, de la part de Pôle emploi, d’une aide aux frais de transport, de repas et d’hébergement restant à leur charge, lorsqu’ils suivent :

  • une action de formation préalable au recrutement (AFPR). Sont concernés par l’AFPR tous les demandeurs d’emploi inscrits, pour lesquels le conseiller du Pôle emploi propose un emploi nécessitant une adaptation par le biais d’une formation réalisée directement par l’entreprise ou un organisme de formation extérieur, sur la base notamment d’offres d’emploi non pourvues ;
  • une préparation opérationnelle à l’emploi (POE) ;
  • ou une action de formation conventionnée (AFC) par Pôle emploi. Les AFC visent à développer les compétences des demandeurs d’emploi inscrits, en particulier ceux de faible niveau de qualification et/ou en reconversion, pour répondre à des besoins de recrutement des entreprises.

 

L’aide aux frais associés à la formation (AFAF) peut être versée, selon les mêmes conditions et modalités, aux bénéficiaires de la convention de reclassement personnalisé, du contrat de transition professionnelle (CTP) et du contrat de sécurisation professionnelle lorsqu’ils suivent une action de formation financée par un organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) ou par le fonds paritaire de sécurisation des parcours professionnel (FPSPP) en application de l’article L. 1233-69 du code du travail et de l’article 44-IV de la loi n° 2011-893 du 28 juillet 2011. Cette aide peut également être attribuée aux bénéficiaires du CSP lorsqu’ils suivent une action de formation financée par un conseil régional en application de l’article L. 1233-69 du code du travail.

Quels sont les frais couverts ?

Cette aide à la formation est destinée à couvrir les frais pédagogiques (dossier, inscription).
Peuvent également être pris en charge par Pôle emploi les frais de transport, de repas et d’hébergement restant à la charge du salarié privé d’emploi. Cette prise en charge s’effectue sur les bases suivantes :

 

- La prise en charge des frais de transport
La prise en charge des frais de transport intervient lorsque la formation se déroule à plus de 60 km aller-retour du lieu de résidence du demandeur d’emploi.
Le conseiller du Pôle emploi définit précisément le kilométrage (en se référant aux sites Internet permettant le calcul précis d’une distance d’un lieu à un autre, tel le site www.via-michelin.fr) dans le formulaire de demande.
L’aide est égale au nombre de kilomètres aller-retour défini par le conseiller multiplié par 0,20 €, multiplié par le nombre de journées de présence sur le lieu de formation. Elle est versée sans qu’il soit exigé de justificatifs.

 

Dans les DOM, la prise en charge des frais de déplacement intervient lorsque la formation se déroule à plus de 20 km aller-retour du lieu de résidence du demandeur d’emploi et l’aide aux déplacements n’est attribuée que sur la base des kilomètres parcourus au-delà de 20 km aller/retour.

 

- La prise en charge des frais de repas
Elle correspond à un montant forfaitaire pour défraiement des repas fixé à 6 euros par journée complète de formation, sans qu’il soit exigé de justificatifs.

- La prise en charge des frais d’hébergement
La prise en charge intervient lorsque la formation se déroule à plus de 60 km aller-retour du lieu de résidence du demandeur d’emploi. Elle correspond, dans la limite des frais engagés, à 30 € par nuitée, sous réserve de la fourniture de justificatifs par le stagiaire (facture d’hôtel acquittée).

L’indemnité pour frais d’hébergement ne peut être accordée lorsqu’une prise en charge des frais de transports quotidiens au titre de la même période a eu lieu.
La procédure de demande et de versement de ces aides est décrite dans l’Instruction Pôle emploi n° 2009-305 du 8 décembre 2009 mentionnée en référence, à laquelle on se reportera.

 

Au total, le remboursement de l’ensemble des frais de transport, de repas et d’hébergement ne peut excéder 665 euros TTC par mois et 2 500 euros TTC pour toute la durée de la formation.

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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 16:43

http://www.web-libre.org/medias/img/articles/3d4893419e57449fb290647149f738d4-2.jpg

 

Chômage : La rémunération pendant la formation

Pendant la formation :

  • les demandeurs d’emploi indemnisés peuvent continuer de percevoir leur allocation. Au terme de leur indemnisation, ils peuvent, sous conditions, bénéficier d’une allocation spécifique ;
  • les demandeurs d’emploi en stages agréés par l’État ou la région peuvent être rémunérés. L’entrée en formation donne lieu à l’établissement d’une attestation d’entrée en stage de formation par le centre de formation (modèle type avec caractéristiques de la formation…) adressée à Pôle emploi.
  •  

A savoir

Pour les actions de formation prescrites, à compter du 1er janvier 2011, par Pôle emploi, une aide dénommée « rémunération de fin de formation » (R2F) peut être versée. Cette aide est gérée par Pôle emploi.

 

Les demandeurs d’emploi indemnisés au titre de l’ARE

Tout demandeur d’emploi indemnisé au titre de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) peut -sur prescription de Pôle emploi dans le cadre de son projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE), dispositif qui s’est substitué à l’ancien « projet d’action personnalisé ») - continuer de percevoir l’ARE (dite ARE "formation") pendant la durée de sa formation, dans la limite de ses droits à indemnisation.

Le montant brut de l’ARE servie pendant la formation est égal au montant brut de l’ARE servie pendant la période de chômage. Toutefois, ce montant ne peut être inférieur à l’allocation minimale prévue par l’article 17 du règlement général annexé à la Convention d’assurance chômage (soit 19,82 euros depuis le 1er juillet 2011).

L’indemnisation au titre de la « rémunération de fin de formation » (« R2F »)

Une aide, dénommée « rémunération de fin de formation » (R2F), est accordée aux demandeurs d’emploi inscrits sur la liste des demandeurs d’emploi, auxquels Pôle emploi prescrit, à compter du 1er janvier 2011, une action de formation mentionnée ci-dessous. Cette prescription doit intervenir durant la période au cours de laquelle les intéressés perçoivent l’allocation d’assurance chômage (allocation d’aide au retour à l’emploi), l’allocation spécifique de reclassement (ASR, versée aux bénéficiaires d’une convention de reclassement personnalisé), l’allocation de transition professionnelle (ATP, versée aux bénéficiaires d’un contrat de transition professionnelle) ou l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP, versée aux bénéficiaires d’un contrat de sécurisation professionnelle).

 

Cette aide est attribuée par Pôle emploi, dans les conditions fixées par la Délibération n° 2011/44 du 16 novembre 2011 citée en référence.

 

Les actions de formation susceptibles de donner lieu au versement de la R2F doivent permettre à la fois d’acquérir une qualification reconnue au sens de l’article L. 6314-1 du code du travail et d’accéder à un emploi pour lequel sont identifiées des difficultés de recrutement, dans la région du lieu de la formation et/ou dans la région du lieu de prescription de la formation. La liste de ces emplois est fixée par arrêté du préfet de région ; elle est disponible

dans les agences Pôle emploi.

 

La R2F est versée mensuellement, à l’expiration des droits du demandeur d’emploi à l’allocation d’assurance chômage, à l’allocation spécifique de reclassement, à l’allocation de transition professionnelle ou à l’allocation de sécurisation professionnelle, et pendant la durée de la formation.

 

Toutefois, la durée cumulée de versement au demandeur d’emploi en formation de l’allocation d’assurance chômage, de l’allocation spécifique de reclassement, de l’allocation de transition professionnelle ou de l’allocation de sécurisation professionnelle ne peut excéder la durée maximum de formation mentionnée à l’article R. 6341-15 du code du travail , c’est-à-dire 3 ans.

 

En cas d’interruption de la formation pour une durée supérieure à 15 jours, le versement de la R2F est suspendu.

 

R2F est égal au dernier montant journalier de l’allocation d’assurance chômage, de l’allocation spécifique de reclassement, de l’allocation de transition professionnelle ou de l’allocation de sécurisation professionnelle perçu par l’intéressé à la date d’expiration de ses droits à cette allocation sans pouvoir excéder 652,02 € par mois et sous réserve de l’assiduité du bénéficiaire dans le suivi de la formation. Elle est entièrement cumulable avec les rémunérations issues d’une activité professionnelle, compatible avec le suivi assidu de la formation.

La demande de rémunération de fin de formation doit être formulée auprès de Pôle emploi. Cette institution assume les recours relatifs aux décisions qu’elle prend en matière de rémunération de fin de formation.

L’indemnisation au titre de « l’allocation des demandeurs d’emploi en formation »

Cette allocation (AFDEF), créée par le décret n° 2009-458 du 22 avril 2009 et reconduite par le décret n° 2010-574 du 31 mai 2010, est accordée aux demandeurs d’emploi qui, durant la période au cours de laquelle ils perçoivent l’allocation d’assurance chômage, ont entrepris en 2009 ou en 2010, une action de formation sur prescription de Pôle emploi. L’allocation est versée à l’allocataire ayant épuisé ses droits à l’allocation d’aide au retour à l’emploi (formation) et qui achève une action de formation présentant les caractéristiques mentionnées ci-dessous. Les actions de formation prescrites à compter du 1er janvier 2011 n’ouvrent pas droit à l’AFDEF ; elles peuvent, lorsque les conditions sont remplies, ouvrir droit à la « rémunération de fin de formation » (R2F) mentionnée ci-dessus.

 

Les demandeurs d’emploi indemnisés par un employeur public n’ayant pas adhéré au régime d’assurance chômage ni conclu une convention de gestion avec l’UNEDIC ou avec pôle emploi pour gérer le risque de chômage ont pu être admis au bénéfice de l’AFDEF ; le versement de l’allocation est assuré par Pôle emploi au terme de la période d’indemnisation par l’employeur public.

 

Ouvrent droit à cette allocation les formations permettant d’acquérir une qualification reconnue au sens de l’article L. 6314-1 du code du travail et d’accéder à un emploi pour lequel sont identifiées des difficultés de recrutement. La liste de ces emplois est fixée par arrêté du préfet de région au vu des statistiques publiques régionales d’offres et de demandes d’emploi, après consultation du conseil régional de l’emploi ; elle peut être consultée auprès de l’Agence Pôle emploi dont relève le demandeur d’emploi.

 

L’allocation en faveur des demandeurs d’emploi en formation est versée mensuellement, à l’expiration de leurs droits à l’allocation d’assurance et pendant la durée de la formation. Toutefois, la durée cumulée de versement aux demandeurs d’emploi en formation de l’assurance chômage et de l’allocation ne peut excéder la durée maximum de formation mentionnée à l’article R. 6341-15 du code du travail, c’est-à-dire 3 ans.

 

Le montant journalier de l’allocation des demandeurs d’emploi en formation est égal au dernier montant journalier de l’allocation d’assurance chômage perçu par l’intéressé à la date d’expiration de ses droits à cette allocation.

 

Pour l’application des articles L. 131-2, L. 311-5 et L. 351-3 du code de la sécurité sociale, cette allocation est assimilée à un revenu de remplacement, ce qui permet notamment à ses allocataires de conserver leur régime obligatoire d’assurance « maladie maternité invalidité décès » antérieur et de valider, au titre de l’assurance vieillesse, les périodes pendant lesquelles ils bénéficient de cette allocation.

  • Pour plus de précisions sur le régime de l’AFDEF, on peut se reporter à l’instruction Pôle emploi n° 2010-102 du 16 juin 2010
  • Sous certaines conditions, Pôle emploi peut attribuer des aides aux frais de transport, de repas et d’hébergement restant à la charge des demandeurs d’emploi qui suivent une formation. Tous les renseignements sur ces différentes aides peuvent être obtenus auprès de l’agence Pôle emploi ou sur le site www.pole-emploi.fr.

 

Les demandeurs d’emploi en stages agréés par l’État ou la région

Ces stages permettent aux demandeurs d’emploi ne remplissant pas les conditions d’attribution de l’ARE de bénéficier d’une formation rémunérée.

 

Le demandeur d’emploi peut suivre dans ce cadre des stages de préformation et de préparation à la vie professionnelle, d’adaptation, de promotion, de prévention, de conversion, d’acquisition, d’entretien et de perfectionnement des connaissances, de bilan de compétences. Les stages agréés peuvent comporter une période pratique en entreprise. Il peut s’agir d’un enseignement à distance.

 

La formation demandée doit être d’une durée minimum de 40 heures et maximum de 3 ans. Pendant la formation, le montant de la rémunération versée par l’Agence de services et de paiement (ASP, nouvel établissement public administratif ayant repris les missions précédemment dévolues au CNASEA).varie en fonction de la situation du DE au moment de l’entrée en stage.

 

Dans ce cadre les frais de formation ne sont pas automatiquement pris en charge.

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 14:52

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À partir de septembre 2009, face à la montée du chômage, Pôle emploi a élargi ses capacités d’accompagnement des demandeurs d’emploi en confiant à des opérateurs privés pour une durée de deux ans, l’accompagnement renforcé d’une part significative des publics rencontrant des difficultés d’insertion et des personnes ayant fait l’objet d’un licenciement économique.

 

À la demande du comité d’évaluation de Pôle emploi, une évaluation de ces prestations d’accompagnement a été conduite, en comparaison des prestations équivalentes délivrées directement par les équipes de Pôle emploi.

 

 

Cette évaluation s’est appuyée sur deux ensembles de travaux :

 

  • des monographies sur la mise en œuvre des prestations d’accompagnement renforcé sur la base d’entretiens de terrain menés dans huit régions, réalisées par le cabinet d’études Geste ;
  • une enquête statistique en plusieurs vagues, menée conjointement par la Dares et Pôle emploi, auprès de deux cohortes de demandeurs d’emploi, visant notamment à décrire le contenu du parcours d’accompagnement et à mesurer les taux de retour à l’emploi 8, 13 et 18 mois après l’entrée en accompagnement renforcé.

 

Les résultats de cette évaluation font l’objet d’un rapport conjoint Pôle emploi-Dares, « L’accompagnement renforcé des demandeurs d’emploi : évaluation du recours aux opérateurs privés par Pôle emploi de 2009 à 2011. »

 

 

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 08:05

http://kimauclair.ca/blog/wp-content/uploads/2012/10/ceder-reprendre-entreprise.jpeg

 

Le salarié qui souhaite créer ou reprendre une entreprise, ou prendre des responsabilités de direction au sein d’une « jeune entreprise innovante », peut momentanément quitter son emploi pour se consacrer à sa nouvelle activité, soit dans le cadre du congé pour création ou reprise d’entreprise, soit dans le cadre du temps partiel pour création ou reprise d’entrepris. Il peut, en outre, en cas de création ou reprise d’entreprise, bénéficier, au cours de sa 1ère année d’activité de l’inopposabilité de la clause d’exclusivité et d’une exonération de cotisations sociales.

A savoir

Un certain nombre de formalités administratives doivent être effectuées lors la création ou de la reprise d’une activité non salariée. Pour ce faire, le salarié créateur ou repreneur d’entreprise peut passer par l’intermédiaire d’un centre de formalités des entreprises.


Fiche détaillée

Les mesures prévues par le Code du travail

Le tableau ci-dessous résume les principales dispositions prévues par le Code du travail afin d’aider les salariés qui le souhaitent à créer ou reprendre une entreprise. Sur le droit des salariés créateurs ou repreneurs d’une entreprise au regard de l’assurance chômage, on se reportera à la fiche consacrée à cette question

 

La mesure

Les conditions de mise en œuvre

Les avantages

Congé pour création ou reprise d’entreprise(1)

Suspension du contrat de travail pendant 1 an (renouvelable 1 fois)

- Ancienneté du salarié d’au moins 24 mois

- Délai de prévenance de 2 mois

- Être disponible pour mener à bien son projet

- Conserver la possibilité de reprendre son emploi au terme du congé

Temps partiel pour création ou reprise d’entreprise(1)

Passage à temps partiel pendant 1 an (renouvelable 1 fois)

- Ancienneté du salarié d’au moins 24 mois

- Délai de prévenance de 2 mois

- Conclusion d’un avenant au contrat de travail.

- Conserver son statut de salarié et son emploi tout en mettant en œuvre son projet

- Reprendre un temps plein en cas d’échec

Inopposabilité de la clause d’exclusivit&e d’exclusivité dans les conditions fixées par l’article L. 1222-5 du code du travail ;

- Rendre inapplicable pendant 1 an (à compter de l’inscription au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ou de la déclaration de début d’activité professionnelle) toute clause qui interdit l’exercice d’une autre activité professionnelle

- Prolongation possible

-Être salarié (sauf VRP) à temps plein, à temps partiel ou en congé pour création d’entreprise (ou sabbatique)

- Respecter l’obligation de loyauté à l’égard de son employeur

- Lever temporairement une entrave à la mise en œuvre du projet de création ou de reprise d’entreprise

Déblocage de la participation

Possibilité de déblocage anticipé des droits du salarié au titre de la participation aux résultats de l’entreprise

Affectation des sommes débloquées à la création ou reprise, par le salarié, ses enfants, son conjoint ou la personne liée au bénéficiaire par un PACS d’une entreprise, à l’installation en vue de l’exercice d’une autre profession non salariée ou à l’acquisition de parts sociales d’une société coopérative de production

Disposer de fonds pour accompagner la création ou la reprise de l’entreprise

(1) Le congé ou le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est ouvert, dans les mêmes conditions, aux salariés qui souhaitent exercer des responsabilités de direction au sein d’une entreprise répondant, au moment où ils sollicitent leur congé, aux critères de « jeune entreprise innovante » telle qu’elle est définie par l’article 44 sexies-0 A du code général des impôts.

L’exonération de cotisations sociales

Les salariés qui créent ou reprennent une entreprise, au sens de l’article L. 5141-1 du code du travail, tout en conservant leur emploi salarié et les personnes qui sont titulaires de certaines prestations familiales, peuvent bénéficier d’une exonération de cotisations de Sécurité sociale dues au titre de leur nouvelle activité. Cette exonération est accordée au titre des 12 premiers mois d’exercice de cette nouvelle activité, dans la limite d’un plafond de rémunération ou de revenu.

Les bénéficiaires

Pour avoir droit à cette exonération de cotisations, le salarié créateur ou repreneur d’entreprise doit justifier de :

  • 910 heures d’activité salariée effectuées dans les 12 mois qui précèdent la création ou la reprise de l’entreprise ;
  • 455 heures d’activité salariée effectuées dans les 12 mois qui suivent cette création ou cette reprise. L’activité salariée du créateur ou repreneur doit avoir débutée avant la date de création ou de reprise de l’entreprise et donner lieu pour l’employeur à l’obligation d’assurance contre le risque de privation d’emploi. Pour la détermination du nombre d’heures d’activité salariée visé ci-dessus, sont assimilées à une activité salariée, à raison de 6 heures par jour, certaines situations limitativement énumérées : chômage indemnisé, interruption d’emploi notamment pour maladie, maternité, invalidité, décès, formation professionnelle rémunérée.

Les durées exigées devront être certifiées par l’employeur du salarié créateur ou repreneur de l’entreprise, notamment par la production des bulletins de paie de la période considérée.

L’exonération est également applicable aux personnes qui, concomitamment à la date de la création ou de la reprise d’entreprise, bénéficient de l’allocation parentale d’éducation (APE) ou du complément de libre choix d’activité (CLCA) ; ces derniers doivent simplement prouver qu’ils perçoivent l’une ou l’autre de ces allocations au moyen d’une attestation fournie par la CAF ou la caisse de MSA.

Les limites de l’exonération

L’exonération porte sur les cotisations dues, au titre des 12 premiers mois d’activité, aux régimes d’assurance maladie, maternité, veuvage, vieillesse, invalidité et décès et d’allocations familiales auxquels est affilié le salarié créateur ou repreneur d’entreprise (ou le bénéficiaire de l’APE ou du CLCA) en raison de l’exercice de cette activité. Si le créateur ou le repreneur relève du régime de sécurité sociale des salariés, l’exonération porte sur les cotisations patronales et salariales. Cette exonération s’applique sur la partie du revenu ou de la rémunération du créateur ou repreneur inférieure ou égale à 120 % du SMIC. Pour l’application de ce plafond, sont pris en compte les revenus ou rémunérations soumis à cotisations de sécurité sociale dans le régime dont relève l’assuré, le montant du SMIC en vigueur au 1er janvier de l’année au cours de laquelle est applicable l’exonération et la durée légale du travail. Cette limite d’exonération est également applicable aux bénéficiaires de

l’APE ou du CLCA.

 

Restent dues les cotisations et contributions suivantes :

  • la CSG et la CRDS,
  • La cotisation d’accidents du travail
  • les cotisations de Sécurité sociale sur la partie de rémunération ou de revenu excédant 120 % du SMIC,
  • les contributions au FNAL (Fonds National d’Aide au Logement),
  • la contribution de solidarité pour l’autonomie,
  • le cas échéant, le versement transport.

L’exonération ne peut être obtenue pour une nouvelle création ou reprise d’entreprise intervenant moins de 3 ans après la précédente.

La procédure

La demande d’exonération doit être formulée à l’issue des 90 premiers jours de la période d’activité et, au plus tard, à l’issue de la période d’exonération ; il est toutefois recommandé d’effectuer cette démarche dès l’immatriculation de l’entreprise. La demande doit être déposée auprès des régimes sociaux compétents, soit, selon les cas, auprès des URSSAF pour les créateurs ou repreneurs relevant du régime général de sécurité sociale, et auprès du Régime social des indépendants (RSI) pour les travailleurs indépendants.

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10 décembre 2012 1 10 /12 /décembre /2012 08:56

http://alloemploi.fr/img/info/action-de-formation-prealable-au-recrutement-afpr-121.jpg

 

Vous sollicitez Pôle Emploi pour un recrutement : un CDD d'au moins six mois à moins de douze mois, un contrat de professionnalisation à durée déterminée, un contrat de travail temporaire pour des missions de minimum six mois dans les neuf prochains mois. Votre conseiller a diagnostiqué avec vous la difficulté de trouver un candidat correspondant exactement au profil de poste.

L'objectif est de résorber efficacement l'écart entre les compétences du candidat que vous retenez et les compétences requises par le poste.

L'Action de Formation Préalable au Recrutement (AFPR) permet la mise en place d'une formation de préparation à cette prise de poste. Elle finance en partie les frais que vous engagez pour une formation réalisée en interne ou en organisme extérieur.

Quels employeurs ?

 

Tous les employeurs du secteur privé ou secteur public.

Qui former ?

 

Le demandeur d'emploi, indemnisé ou non, présélectionné sur l’emploi à pourvoir est formé sur une durée de 400 heures maximum, afin de lui permettre d'acquérir les qualifications et compétences professionnelles nécessaires pour accéder à un emploi vacant.

L'action de formation préalable au recrutement peut être mise en place pour une formation pré-qualifiante précédant un contrat de professionnalisation.

 

 

Quels avantages ?

L'action de formation préalable au recrutement vous permet d'embaucher, à l'issue d'une formation définie avec vous, un candidat immédiatement opérationnel sur son poste de travail. L'acquisition des compétences pour occuper ce poste peut se faire soit dans votre entreprise, soit dans un centre de formation.


Une aide au financement de la formation vous est versée si vous embauchez le demandeur d'emploi dans les conditions prévues au moment de la signature de la convention AFPR :

  • aide maximale de 5 € net par heure pour une formation interne, dans la limite de 2 000 €,
  • aide maximale de 8 € net par heure de formation externe, soit 3 200 € au maximum pour 400h de formation.
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7 décembre 2012 5 07 /12 /décembre /2012 08:50

 

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Former les salariés menacés de licenciement pour motif économique et organiser leur reconversion professionnelle ou leur adaptation à de nouvelles compétences: des solutions pour maintenir leurs emplois dans le cadre de conventions. Le financement de ces actions de formation est assuré en partie par l'Etat.

Qui est concerné ?

  • - Chef d'entreprise de PME, en priorité, notamment celles de moins de 250 salariés qui souhaitent :
  •  
    • organiser le reclassement en interne de salariés sur des emplois non menacés, soutenir des actions visant à remédier aux problèmes de sureffectifs ou d'inadéquation des compétences ;
    • recruter, sous certaines conditions, des demandeurs d'emploi et les former aux emplois proposés ;
    • accompagner les réductions des horaires de travail dans le cadre du chômage partiel.
  • - salariés de niveau V (BEP, CAP) ou moins.

 

 

Quels avantages ?

 

Négociée avec l'entreprise, l'aide de l'Etat est déterminée en fonction de la taille de l'entreprise et de ses difficultés.

 

Elle couvre une partie des coûts de rémunération des salariés et des frais de fonctionnement des actions de formation (formations générales et techniques, qualifiantes ou non, remise à niveau, alphabétisation, ...), et ce, dans les limites suivantes :

  • - 70 % des dépenses de rémunérations pour les actions de formation hors poste de travail (convention de formation),
  • - 50 % pour les actions d'adaptation sur les lieux de production (convention d'adaptation),
  • - 50 % des frais de fonctionnement (30 % pour les grandes entreprises).

 

A quelles conditions ?

  • Durée des actions : au moins 50 heures pour les actions de formation, 120 heures pour les actions d'adaptation. La prise en charge de l'Etat est limitée à 1 200 heures par salarié.
  • Engagement de l'entreprise : valider les compétences, maintenir l'emploi des salariés après la formation, maintenir l'effort de formation.

Quelles démarches ?

 

Conclure une convention avec la DDTEFP. Dans certains cas (importance du montant de l'aide, entreprise relevant d'un groupe d'importance nationale), la DDTEFP doit, avant de signer la convention, demander une autorisation au Ministère des affaires sociales, du travail et de la solidarité. La convention est conclue pour une durée d'un an.

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 23:54

 

La Prestation d'Orientation Professionnelle Spécialisée (POPS) vous permet de construire, selon vos ambitions et vos capacités, le projet de formation le plus adapté pour votre retour à l’emploi. Cette prestation vous aide également à concrétiser ce projet de formation.

 

 

Votre situation actuelle

Vous êtes en recherche d'un emploi, indemnisé ou non : souhaitant faire évoluer votre objectif d'emploi en passant par une formation professionnelle.ayant besoin d’être aidé dans l’identification des formations et de leurs financementsdisponible et prêt à vous investir dans une prestation de construction de votre parcours de formation.

Vous voulez

 

  • vous assurer que l’acquisition de compétences par la formation vous permettra d’accéder à l’emploi que vous souhaitez trouver la formation qui correspond le mieux à votre projet d’emploi (en définir le parcours)  maxmiser vos chances d’obtenir une qualification reconnue et étudier vos possibilités d’accéder à cette formation. mettre en œuvre un plan d’actions pour réaliser votre projet de formation

La réponse à vos besoins

Votre conseiller peut vous proposer dans le cadre votre suivi personnalisé cette prestation et dès lors qu’il considère avec vous qu’il vous sera utile de:

réfléchir à l’opportunité de la formation comme levier d’action vers l’emploi recherché

  • identifier les atouts et les difficultés au regard de l’offre de formation de votre environnement, analyser votre potentiel, vos compétences, vos capacités, vos aspirations et vos intérêts professionnels.
  • être mis en relation avec l’organisme de formation et être accompagné dans vos démarches jusqu’à votre entrée en formation.
  • être accompagné dans l’identification des financements de formation mobilisables selon votre situation
  • consolider votre orientation vers une formation

L'organisation et la méthode de cet accompagnement

Réalisée par un psychologue spécialiste de l’orientation professionnelle des adultes de Pôle-emploi, la prestation d’orientation professionnelle spécialisée se déroule en 3 temps sur une durée pouvant aller jusqu’à 6 semaines :

Entretien de confirmation du besoin de formation et de contractualisation du service
Suite à une présentation du déroulement de la prestation, le psychologue vous invitera à « poser à plat » votre demande de formation ; d’examiner les leviers et les freins qui la constituent, éventuellement envisager avec vous une autre piste que la formation ;

Construction du parcours de formation
A partir de l’examen concerté de vos objectifs et de vos caractéristiques personnelles (capacités, compétences acquises, motivations, …) Le psychologue du travail vous aide à cibler les actions de formation les plus adaptées à votre situation (type, niveau de certification visée, …).

Conclusion, et définition détaillée du parcours de formation
Au cours du dernier entretien, vous pourrez finaliser votre projet de formation en disposant des coordonnées des organismes et les dates des sessions de formation.

Attention
: certaines pistes de formation peuvent vous être proposées sans avoir recours à la Prestation d’Orientation Spécialisée. Exposez votre souhait à votre conseiller Pole emploi qui vous proposera soit directement une solution formation soit une Prestation d’Orientation Spécialisée ou encore une autre prestation correspondante à votre situation.

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 07:56
Identifiez les organismes de formation

 

Pour connaître les formations existantes, vous pouvez vous renseigner auprès des différents organismes de formation. Si vous êtes demandeur d'emploi, il est nécessaire de demander conseil à un conseiller Pôle emploi, avant d'entamer toutes démarches auprès des centres de formation.

Le saviez-vous ?


En complément des contrats de formation en alternance (contrats de professionnalisation ou d'apprentissage) et des dispositifs de formation relevant d'autres financeurs (les conseils régionaux notamment), Pôle emploi peut vous proposer : une action de formation préalable au recrutement pour vous adapter à une offre d'emploi non pourvue ; une action de formation en organisme de formation, visant à répondre aux besoins de recrutement des entreprises sur un territoire ou par une branche professionnelle.

  • dans le cadre du contrat d'accompagnement formation initié par le gouvernement pour les jeunes de moins de 26 ans, une offre de formation spécifique permettant l'accès à une certification, ou une adaptation des compétences ou une préparation à la qualification.

Ces formations sont mises à disposition par Pôle emploi dans chaque région.

Pour en savoir plus, renseignez-vous auprès de votre conseiller Pôle Emploi, et, pour le contrat d'accompagnement formation, auprès de votre conseiller Mission Locale.

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17 février 2012 5 17 /02 /février /2012 16:43

Cinq idées reçues sur la formation des chômeurs

 

Si nous avons besoin de demandeurs d'emploi à former? C'est le choc de la proposition de Nicolas Sarkozy pour réduire le chômage. Mais le projet présidentiel est confronté à plusieurs obstacles: système complexe, les problèmes financiers, le manque d'accès à la formation ... Mise à jour sur les idées dans le domaine.

Face à la montée du chômage élevé, Nicolas Sarkozy, désormais candidat à la présidentielle, propose d'adopter un nouveau jalon dans les obligations imposées aux demandeurs d'emploi. Son idée? «Que chaque chômeur sans aucune perspective sérieuse de retour à l'emploi formation professionnelle à choisir dans un secteur prometteur crée des emplois», défini comme un «comité national de chefs d'entreprise et les syndicats." À l'issue de cette formation serait obligatoire, les chômeurs "sera tenu d'accepter la première offre d'emploi correspondant au métier dans lequel il a été formé." Sous peine d'annulation du centre d'emploi. Il perdrait ses droits à une indemnisation. Cette proposition est-elle sur les résultats tangibles?

 

1. Les demandeurs d'emploi ne veulent pas former

 

Faux. Fin Décembre, 4,6 millions de personnes ont été inscrits à Pôle emploi, dont 2,7 millions de personnes qui ont échangé là-bas. Bénéficiant quelque 600.000 chaque année de formation. Cela fait partie de l'accès à l'emploi du projet personnalisé (PPAE), défini, avec un conseiller Pôle emploi au moment de l'inscription. Mais toutes les demandes de formation ne sont pas remplies. Une enquête de la DARES, publié dernier Novembre, 45% des demandeurs d'emploi ont dit qu'ils avaient des difficultés à accéder à la formation. Y compris la formation professionnelle. La plupart (22%) n'ont pas trouvé de formation adapté à leur projet ou se heurte à un problème de financement (18%).

 

2. La formation facilite le retour au travail

 

Oui et non. Alors que la plupart des experts disent officiellement que les stages "parking" ont disparu, les résultats sont réellement mixte: six mois après la formation, 59,1% des bénéficiaires de la formation pris en charge par l'opérateur public sont dans le bureau, contre 45,2% pour les autres bailleurs de fonds (régions, Etat. ..), selon le centre d'emploi. La nature de l'emploi diffère également. Encore une fois avec un net avantage pour le centre de l'emploi. La majorité des stagiaires chute suivie d'une institution permanente. Ils sont seulement 30,9% dans ce cas pour les stagiaires financés par d'autres opérateurs.

 

3. Les demandeurs d'emploi sont les principaux bénéficiaires des fonds de formation

 

Faux. Seulement 13% d'entre eux ont accès à cette richesse de 30 milliards de dollars dépensés chaque année. Loin derrière, les employés (61%) et les jeunes (25%, l'apprentissage). Le Conseil économique, social et environnemental a noté dans un dernier avis Juin, que la formation était encore "trop ​​peu mobilisés pour les demandeurs d'emploi." Parmi ses recommandations? Améliorer les coûts de formation d'action et de soutenir, développer la formation offre de services, la construction d'un portail d'information offrant une formation disponibles.

En fait, le système est complexe. En effet, selon le type de formation identifiés par le PPAE, les financiers sont différents.

Agence pour l'emploi, par exemple, prend en charge les activités de formation préalable au recrutement (AFPR) ou une formation en vertu de l'accord qui développent les compétences professionnelles correspondant à un besoin identifié sur le marché du travail. Ils sont définis par l'enquête sur les besoins de main-d'oeuvre "" (BMO) réalisée chaque année par le centre d'emploi et le CREDOC, à partir des intentions d'embauche enregistrées avec 1,7 millions d'entreprises. En 2011, l'opérateur public, par exemple, pris en charge 130 000 de formation. "Nous nous concentrons sur des entreprises prometteuses et de tension, a déclaré un porte-parole de Pôle emploi. Principalement dans les domaines des services de transport, de santé et de l'homme. Mais on peut aussi financer la formation plus générale en anglais, par exemple, dans de nombreuses fonctions essentielles."

Régions, puis, publie chaque année une formation professionnelle régionale adaptée aux besoins des entreprises locales. Il peut s'agir de la formation professionnelle ou le degré des programmes, en particulier pour les jeunes quittant l'école sans qualification ou chômeurs de longue durée.

L'Etat assure, à son tour, le financement des stages d'intégration et de formation à l'emploi (SIFE) programme ou la 'Clé', incorporant des dispositifs de lutte contre l'analphabétisme, pour appuyer l'enseignement personnalisé. En ce qui concerne OPCA, ils soutiennent le DIF, c'est-à-dire, le cadre financier pour le reste d'heures acquises au titre du DIF (droit individuel à la formation) dans le dernier employeur. Ou co, avec le centre de l'emploi, la POE (préparation à l'emploi), conçu pour faire correspondre les compétences aux emplois offerts par les entreprises ... et d'oublier le plan de Bounce, qui aurait bénéficié seulement 20.000 chômeurs au lieu de 325.000 annoncé.

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